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PING : des rebonds plus imprévisibles qu'une balle de ping-pong !

02/01
Après Seule à la récré, scénarisé avec sa fille, Bloz revient avec Ping !, cette fois co-écrit avec son fils Axel.
 
Ils s'y mettent en scène – avec beaucoup d'humour évidemment ! – et partagent leur passion commune.
 
Ensemble, ils signent un album tonique et chaleureux, à l’image du tennis de table, sport méconnu mais qui a le vent en poupe.
 
 
L'inetview des auteurs :
 
Et au fait, ping-pong ou tennis de table ?
 
Bloz : On dit les deux, indifféremment !
 
Deux mots pour définir ce nouvel album ?
 
Bloz : « Humour » et encore une fois « complicité » ! Dans Seule à la récré j'abordais le sujet du harcèlement scolaire avec ma fille.
Ici avec Axel, nous traitons un sujet nettement moins lourd, mais qui nous rapproche également.
 
Axel : Cet album n'est pas un « coup » commercial, notre désir de partage est sincère. L’album relate – avec quelquefois plus d’humour que dans la réalité ! – notre expérience personnelle depuis plus de dix ans.
Le tennis de table comme vous ne l'imaginiez pas ! Ce sport nous apporte tellement que nous avons envie de le faire découvrir et de partager notre plaisir.
 
Vous avez douté, ou pas du tout ?
 
Bloz : Comme à chaque fois ! Au départ, il y a toujours des doutes quant à la faisabilité, le nombre de lecteurs que nous pourrons toucher, etc. Il faut vite se défaire de ces pensées sinon on ne démarre pas.
 
Axel : On s’est posé plein de questions : le sujet est-il suffisamment fédérateur ? Allons-nous réussir à donner envie de jouer à quelques novices ? L’album va-til plaire aux pongistes ?
 
Sur ce dernier point, c'est gagné puisque la FFTT* est partenaire de l'album.
 
Axel : Nous sommes très heureux de ce partenariat avec la Fédération. Pour nous, c'est une validation de notre travail, grâce à laquelle nous nous sentons légitimes à 100 %. Comment faire rire avec juste une table et deux joueurs ?
Bloz : Ça peut sembler austère, mais les entraînements, les tournois, sont autant de situations propices à des quiproquos, des catastrophes, des gags réels ou imaginaires.
 
Vous jouez ensemble, tous les deux ?
 
Axel : Je joue en compétition en FFTT, départemental 1, ainsi qu'en UFOLEP en Promotion Honneur 2e division. Tous les deux, nous jouons parfois ensemble, face à face dans notre club d'origine, mais uniquement en mode loisir car nous n'avons pas le même niveau...
 
Bloz : Je confirme ! Axel a commencé le tennis de table à l'âge de huit ans, avec sa sœur. Personnellement je n'avais plus joué depuis le collège, mais je me suis réinscrit avec eux et depuis treize ans, plusieurs fois par semaine, nous nous rendons ensemble à la salle pour pratiquer pendant 1 heure 30 ou 2 heures. Vu mon niveau, je joue effectivement en section loisir : dans le milieu de la compétition, je suis ce que l'on appelle un crabe !
 
D'où vient le regain d’intérêt que connaît le tennis de table actuellement ?
 
Axel : C'est vrai, ce sport prend de l'ampleur et trouve un nouveau souffle en France, grâce à l'ascension des deux frères Lebrun, Alexis et Félix. Ils sont très inspirants ! Quasiment sortis de nulle part, ils ont réalisé en très peu de temps de grosses performances. Nous comptons sur eux pour les prochains JO.
 
Ce sport semble porteur de belles valeurs…
 
Bloz : Amitié, complicité, fair-play, loyauté, respect, courtoisie et bonne humeur en sont les bases. La bonne entente règne entre tous, vraiment, c'est très agréable. La compétition dure, l'envie de gagner à tout prix ne transpirent pas comme dans d'autres sports.
 
Axel : Nous l'avons souvent constaté, l’esprit de cette discipline est très loin du foot par exemple (d'ailleurs nous en avons fait un gag dans l’album). Peu médiatisée, beaucoup moins d’argent à gagner : ça explique probablement son bon esprit. Peut-être aussi l'influence asiatique... C'est un sport intense et zen à la fois.
 
 
 
 
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